19 mai 2024

NGAOUNDERE : Atelier de lancement du projet PECPEVI.

 

Il s’est déroulé dans la salle des Actes de la communauté urbaine de Ngaoundere sous la présidence du représentant du gouverneur de la région de l’Adamaoua. Organisé par le Cercle International pour la Promotion de la Création en abrégé CIPCRE une Organisation Non Gouvernementale de droit camerounais d’obédience chrétienne créé depuis 1990 exerçant dans plusieurs domaines à savoir : la protection des droits humains, la lutte contre la violence dans toutes ses formes, la paix et la cohésion sociale, l’hygiène communautaire, l’entrepreneuriat etc…

En toutes lettres il s’agit de la Promotion d’un Environnement Communautaire Protecteur des Enfants contre les Violences sexuelles, culturelles et religieuses. Dont l’objectif global est de contribuer au renforcement des mécanismes communautaires de prévention et réponse aux violences envers les enfants. À côté de celà l’on retrouve plusieurs objectifs spécifiques tels que : Amener les membres des communautés à développer des initiatives durables de prévention des violences envers les enfants, favoriser la détection précoce des enfants à risque/victimes et faciliter leur sécurisation et leur prise en charge holistique dans la perspective de leur autonomisation et susciter l’émergence et l’appropriation des bonnes pratiques d’application du cadre légal de protection des droits de l’enfant par les acteurs clés.
Les domaines d’intervention du dit projet sont entre autres : la prévention communautaire, plaidoyer de renforcement du cadre légal et institutionnel protection de l’enfant, l’aide directe aux enfants victimes.

Selon le directeur national du CIPCRE Cameroun la région de l’Adamaoua fait partie des régions les plus vulnérables et affectée par ce fléau de violences envers les enfants et qu’il est donc normal que le CIPCRE apporte sa modeste contribution pour participer au changement.

Les participants qui ne sont autres que les acteurs clés dont politiques, administratifs, judiciaires, traditionnels et religieux. Ils ont été assez imprégnées de la situation et ont apporté leur soutien et engagement dans la pérennisation de ce projet. Durant l’autel ils ont fait des remarques, des commentaires et des propositions. Les plus marquantes sont le partage d’informations, collaboration, adhésion au réseau local, implication des acteurs de terrain, création d’une plateforme dédiée à la lutte contre les violences.

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