19 mai 2024

Performance : Bertoua 1er fait 98,23% au Bip. Cette municipalité vient d’arracher avec manière la première place dans le Lom et Djérem.

Comparativement au dernier classement où cette collectivité territoriale décentralisée était troisième, à cause du retard sur la passation de certains marchés, et d’autres pour des raisons de visas du contrôleur financier spécialisé, le travail abattu par le maire Me Bembell D’Ipack Olivier Cromwell et son équipe a fini par payer. 1er au classement départemental dans le Lom et Djérem, région de l’Est, avec un taux d’exécution physique de 98,23%. Avec deux projets en cours qui sont presque achevés. Pour le maire Me Bembell D’Ipack Olivier Cromwell : << Nous travaillons tous les jours pour améliorer le cadre et les conditions de vie de nos populations. Bien plus, nous voulons faire des résultats acquis sur le terrain notre porte parole. Ce résultat pour moi est le reflet de ce qui se fait sur le terrain.>> Sur un total de 06 projets en bon de commande et 19 en lettre de commande, seuls deux sont encore en cours. Que ce soient les salles de classes, la lutte contre le COVID-19, l’eau, l’entretien routier, la construction des ouvrages de franchissement etc, le maire n’a pas donné du répit aux prestataires. Il avait d’ailleurs multiplié les descentes pour toucher du doigt l’évolution des travaux. Et à chaque fois, il n’hésitait pas de faire des observations allant dans le sens de la célérité, mais aussi dans le sens de la qualité de réalisation des différents projets.

Bertoua 1er est suivi dans ce classement départemental du Bip par la commune soeur de Bertoua 2è avec 94,77% du taux de réalisation physique. Troisième, la commune de Diang avec 90,40%. Bétaré-Oya et Belabo ferment la queue avec respectivement 30,40% et 18,70%. A Belabo qui est au bas du classement, la raison est simple selon le délégué département du Minepat, la plus part des projets n’ont pas démarré. La contractualisation étant un véritable problème. D’où cette invite à beaucoup d’efforts pour celles des communes qui traitent les pieds. La finalité étant que le développement ne se fasse pas à plusieurs vitesses, selon les prescriptions et les orientations du chef de l’État Paul Biya au sujet du développement local durable.

Par Martin Crépin Ntsana Mekok.

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